Lorsque l’on souhaite s’engager dans l’humanitaire, on a le sentiment d’être mû par des valeurs fortes et universelles de solidarité. Cependant, il n’est pas rare de se retrouver déçu par la réalité du monde du travail. Comment transposer ces valeurs humaines dans le monde du travail ? Comment valoriser ses expériences sur le terrain avec sa vie professionnelle ?
Dans cette interview, je vous propose d’écouter le parcours atypique d’Alexandre. Après avoir effectué un stage en Bolivie, Alexandre décide de s’investir auprès des communautés amérindiennes en Amérique du Sud. De retour en France il fonde avec des amis l’association UNIDOS (asso-unidos.com) afin de pouvoir poursuivre les actions entreprises lors de son stage tout en essayant de concilier sa vie personnelle et professionnelle.
Un parcours qui montre qu’il est également possible de s’engager en entreprenant des actions depuis la France. C’est également l’occasion de se poser des questions sur la transversalité des compétences professionnelles vers la solidarité internationale, sur l’engagement à l’étranger et sur l’interculturalité. Un focus particulièrement intéressant sur la situation des communautés en Amérique du sud et sur le respect des traditions locales.
de loin, je salue Alexandre mobailly, quand je commencé ma carrière humanitaire pour la première fois chez Première Urgence Internationale en RDC dans la province de Sud Ubangi, je le rencontré, un monsieur passionné de son travail étant que logisticien et qui à démontre sa compétences intellectuelle dans cette formation. nous tenons aussi à remercié le centre de formation Bioforce pour son encadrement.